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Pour ce qui est des accus, toujours autant de GP3700 en promo et d’IB4200 en Supersport (A et B). Les GP4300 ne semblent pas recueillir le suffrage des pilotes, qui leur reprochent un manque de punch par rapport aux IB4200. Toutefois, il se pourrait qu’ils soient plus linéaires, ce qui peut en faire un choix judicieux pour les pilotes ayant du mal à finir. Une autre qualité qui faut leur reconnaître, c’est leur fiabilité. Beaucoup de pilote ont semble-t'il rencontré des soucis avec leur IB, alors que le feedback que nous ayons pour l’instant avec les GP4300 tendrait à nous faire penser qu’ils sont nettement moins fragiles. Attention cependant aux conclusions hâtives, les IB sont loin d’être de mauvais éléments, et les soucis de fiabilité ne sont apparus que récemment, avec la sortie des versions « SHV », qui signifie Super High Voltage. En fait, une différence physique existe entre les 2 générations, le pole négatif est légèrement bombé, ce qui signifie qu’ils en ont rentré plus dans l’élément, et ça pourrait expliquer certains phénomènes, à suivre donc. Un mot sur la charge des accus: on voit un peu de tout. Certains chargent à 5A, d’autre à 7, voir 10A. Sur la piste, pas de réelle différence, mais le feeling serait sensiblement différemment. Il semblerait que l’entretient soit surtout l’étape à ne pas négliger, mais là aussi, plusieurs idées s’affrontent, et comme pour la charge des éléments, les valeurs de tension de coupure varient beaucoup, et cela va de 0,9 à 0,1, voir moins. Donc encore une fois, tout le monde à sa petite cuisine, et tout le monde est convaincu que c’est la seule qui marche. Xray: la marque slovaque est toujours aussi bien représentée dans les stands, et comme toujours, dans les trois catégories. Commençons par les sports. On y retrouve toutes les générations et c’est une Raycer "carbonisée" qui fait le deuxième temps. L’auto, en plus de l’ensemble châssis/platine carbone, recevait une paire de cellule de FK'04 à l’avant pour pouvoir installer la platine carbone. Toujours dans cette catégorie, beaucoup de FK'05 à l’image de celle de Yann Gradelet qui prend la seconde place et qui signe du même coup son premier podium national. En Supersport B maintenant, c’est V. Cavard qui réalise la meilleur performance pour la marque en finissant sixième, avec la aussi, une FK05. En Supersport A, plus aucun "vieux" châssis visible, on ne trouve que des T2. On en dénombre deux exemplaires en finales A, celle de S. Bellity et celle de M. Rascol, ensuite, ça se dilue assez vite. Les soucis de mise au point du début d’année semble s’être stabilisé, par contre, les set-ups paraissent assez différent d’un pilote à l’autre, notamment en ce qui concerne les valeurs de droop ou les valeurs en hydraulique. Tamiya: encore une belle démonstration de la part des Tamiya. Pas de nouveauté technique, l’installation des poulies de TA05 est maintenant connue et le team travaille toujours aussi bien ensemble. Toutefois, peut être moins de facilité durant ce CF pour le clan Tamiya, à l’image d’Arnaud Constanty, récent troisième à Aniche et qui ne fait pas mieux qu’une finale B ici. Pas de TB Evo 5 aperçu monté dans les stands, mais le magasin Millenium Modélisme avait amené un kit avec lui. Hotbodies: la voiture est toujours aussi séduisante. Comme lors des manches précédentes, c’est H. Ragaut qui en est le meilleur représentant. Pas de modification majeure depuis Aniche, l’auto marche bien, et comme pour toutes les marques, les évolutions majeures sont prévues pour le world à Collegno. Team Associated: c’est encore et toujours la TC3 FT d’A. Beauquier qui réalise la meilleure performance pour le team Asso. Les TC4 FT ont par contre plus de mal, malgré les efforts des pilotes. Seul G. Monchy s’en sort bien, grâce entre autre à la connaissance parfaite de la piste, ce qui lui permet de monter sur la troisième marche du podium en Supersport B. On parle de plus en plus d’une TC5, une voiture à courroies, qui viendrait remplacer la TC4. Des images circulent depuis la Reedy Race en Californie, mais Asso. n’a pas confirmé l’information (qui ne dit rien consent) donc rendez-vous à Collegno dans quelques jours. Schumacher: Plusieurs exemplaires visibles dans les stands, notamment aux mains des pilotes officiels, C. Tardy et A. Laurent. Sur les deux pilotes, c’est A. Laurent qui s’en sort le mieux puisque il se place à la cinquième en Supersport A. Techniquement parlant, rien de nouveau, les pilotes utilisant tous la version EC. Corally: la RDX est championne de France Sport et Supersport B, mais mis à part ça, rien d’inédit, une "RDX 2" est annoncée pour le world (on commence à en avoir l’habitude) mais pour le moment, nada, les voitures fonctionnent de boîte et les pilotes sont contents de leur monture. Yokomo: représentation toujours aussi faible pour la marque japonaise. M. Bouillard a délaissé sa TC4 et s’est laissé tenter par la version Grainger de la MR4 BD. Les différences sont assez minimes, et il faut surtout chercher du côté des matériaux et de l’équipement pour trouver des distinctions. Commission technique: le samedi soir a eu lieu une commission technique lors de laquelle ont été abordés plusieurs thèmes, en particulier l’avenir de la catégorie Sport. Plusieurs pistes ont été soulevées, mais c’est surtout l’initiative de M. Berty qui a retenu l’attention de l’assistance. Cette initiative se présente sous la forme d’une liste non exhaustive de requête pour faire changer le réglement de la catégorie Sport. Parmi ces requêtes, on peut trouver l’abandon des IAS, l’alignement sur le réglement Supersport pour les accus et le maintient à une liste de moteur prédéfinie. Tout ceci pour aller dans le sens d’une catégorie Sport (qui serait appelée Super-stock) avec une plus grande crédibilité aux yeux des pilotes, sponsors, etc. En plus de cette initiative, il a été fait mention de la pérennité du questionnaire qu’avait fait parvenir notre responsable fédéral l’année dernière, pour cause de manque de retour de la part des pilotes. Apparemment, les catégories Supersport n’ont pas suscité de discussion particulière, l’équilibre A/B semblant être apprécié par l’ensemble des pilotes. Les qualifications: Sport: on pourra dire qu’O. Beining se sera senti un peu seul durant ce championnat de France. Seul A. Mir sera en mesure de jouer un petit peu avec lui, mais au prix d’effort quasi surhumain ;-) Seul O. Beining aura réussi à passer le 20t dans ces qualifications, pour reléguer ses camarades de jeux A. Mir et Y. Gradelet à 1t. Notre trio de tête se compose donc d’O. Beining avec 0 point, A. Mir 2 points et Y. Gradelet 4 points. Ensuite, nous trouvons B. Lopez, 10 points, P. Delorme 15 points et C. Simon 18 points. Pour finir, on retrouve respectivement C. Grinand, J. Delorme et E. Deschamps. Supersport B: dans cette catégorie, c’est un peu plus serré et c’est E. Saurou qui sera le premier à effectuer la pole et qui sera par la même occasion le premier à effectuer un 22t (ndlr : il sera un peu aidé par une puce défectueuse, les tours étant pris à la main par le directeur de course...). Lors de la 2ème manche de qualification, c’est le leader du championnat, F. Valantin qui reprend la pole, à égalité de point avec le très rapide A. Tarantino. Du coup, E. Saurou passe 3. A partir de là, tout le monde sais que cela va être un mano a mano entre F. Valantin et A. Tarantino. La suite des événements tourna à l’avantage du premier cité, puisqu’il réalisa quasiment toutes les poles, à l’exception de la première. Pour la troisième place, après l’avoir longtemps détenue, c’est finalement le local G. Monchy qui s’en empare, au détriment d’Eric, qui se sera bien battu pour la conserver. Le classement définitif est le suivant : F. Valantin 1er avec 0 points, A. Tarantino 4 points et G. Monchy 8 points. Après, viennent E. Saurou 9 points, J. Claux 11 points, V. Cavard 14 points et F. Jadot à égalité de point avec M. Berty, mais c’est Florent qui prend la 7ème place grâce à une qualif. plus rapide (21t en 5’’04’12 pour Florent et 5’’07’96 pour Michel). Pour terminer, C. Clarin se classe 9ème avec 19 points et A. Deshayes ferme cette finale A avec 20 points. Supersport A: C. N’Daye affiche clairement ses ambitions et prend toute de suite la tête, suivi par A. Laurent et A. Beauquier. Ce classement va quelque peu changer dès la seconde manche (mais pas le leader) puisque c’est A. Beauquier qui prend la seconde place, A. Laurent dégringolant à la douzième place. Ce petit jeu profite à M. Jasmin qui était à la septième place et qui se voit propulser à la troisième. Vous le croirez ou non, mais ça change encore à la manche 3, mais toujours pas le leader ! Et cette fois-ci c’est J. Carpentier qui prend la seconde place au dépens d’ A. Beauquier qui rétrograde en troisème position et M. Jasmin lui à la cinquième . Pour la manche 4, enfin du nouveau à la première place en la personne d’A. Thréhout ! Cyril n’est pas très loin puisque nous le retrouvons second et à la troisième, c’est A. Laurent qui nous revient de loin car il occupait neuvième place lors de la manche 3. Après une nuit réparatrice, C. N’Daye reprend son bien et réintègre la place de leader, repoussant Aurélien à la seconde position. A. Beauquier s’accroche et ne perd pas espoir, et il a bien raison car il se réapproprie la troisième place. Pour finir, lors de l’ultime qualification, c’est H. Ragaut qui effectue une très belle remontée de la sixième place pour intégrer le top 3, évinçant du même coup A. Beauquier à la quatrième position. On retrouve A. Laurent en 5, S. Bellity en 6 et M. Rascol en 7. J. Carpentier, qui à occupé un temps la place de second, fini 8juste devant A. Dusart, toujours bien placé. M. Jasmin clôt ce top 10. Les Finales: Pour cause d’orage imminent, seul les finalistes A Sport on pu courir au moins une finale, pour les autres catégories, l’organisation est restée sur les résultats des qualifications. Sport: O. Beining n’a laissé le soin à personne de gagner, et après un départ canon, il s’enfuit de telle façon que personne n’a pu lui contredire son leadership. A. Mir, qui partait de la seconde position, s’est fait enfermé pour le « troupeau » et s’est fait quelque peu bousculer. Par conséquent, il perd tout le bénéfice de ses qualifications et fini malheureusement à la 8ème place. A la 2ème place, on trouve Y. Gradelet qui à réussi à bien tirer son épingle du jeu. En parlant de jeu, mais celui des chaises musicales, c’est B. Lopez qui s’en sort bien puisque parti de la 4ème position, il gagne son passeport pour le podium. Du coup, cela profite à C. Grinand, qui fait 4ème. Pour compléter, nous trouvons C. Simon, P. Delorme et son frère Jean respectivement 5ème, 6ème et 7ème. En queue de peloton, nous retrouvons le malchanceux A. Mir et le non moins malchanceux E. Deschamps. La carte Postale de Fabien Valantin : Une manche de courue de plus. Cette quatrième manche a, de mon point de vue, tenu toutes ses promesses, avec de belles bagarres sur la piste, notamment en Supersport A. C’est un peu moins vrai en Supersport B mais pas du tout en Sport. C’est d’ailleurs toute l’origine de la polémique, car il y a un réel potentiel pour faire vivre aux pilotes de cette catégorie de belles expériences de pilotage, à l’image de ce qui se pratique en Suisse avec un championnat "amateur" passionnant et très bien suivi. La catégorie Supersport B, elle, trouvait son rythme de croisière avec une trentaine de participants, soit le même nombre de pilotes qu’en Supersport A, ce qui est un signe très encourageant. En plus le niveau a tenu toutes ses promesses, et ce fût une grande déception de la part de tous les pilotes de ne pas avoir couru les finales, qui s’annonçaient très disputées. D’un point de vu technique, aucune nouveauté, un vrai désert. C’est assez idiot de la part des fabricants de ne pas être capables de pouvoir distiller les nouveau produits sur le courant de l’année. Ceci dit, c’est assez pratique pour faire un constat en milieu de saison et c’est là qu’on se rend compte que tout ce qui était annoncé comme révolutionnaire ne l’était pas forcement. Donc voilà, c’est fini pour le moment, on connaît déjà tous les champions de France, et la fin de saison risque d’être tout de même agitée, les seconds couteaux voulant montrer qu’ils existent. Rendez-vous est donné au Havre pour la Coupe de France. A bientôt.
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