Team Orion Classic Zillisheim 2006:
(reportage et photos: Fabien Valantin / Copyrights © rcinfos - adaptaweb)
Note: toutes les photos peuvent être agrandies par un simple clic.
Comme tous les ans, et depuis
neuf ans maintenant, rendez-vous était
pris à Zillisheim en Alsace pour
la plus que traditionnelle Team Orion/HPI
Cup, course qui donnait le départ à la
saison indoor française. Comme à l’accoutumée,
tout avait été mis en œuvre
pour un accueil chaleureux des pilotes
et un grand confort tout au long de ce
weekend de course. On peut donc légitimement
penser que cette course est une véritable
classique, tant sa longévité est
grande, et ce, malgré une concurrence
de plus en plus importante, par conséquent,
un grand bravo à l’équipe
du SAM68 pour son dévouement et
sa motivation.
La
course: on aura
connu de meilleures années...
Seulement 93 pilotes présents,
répartis
dans deux catégories: 54
pilotes classés en amateur (moteur
et pneus imposés: Team Orion
Katana 23T/HPI B15 40 montés collés)
et 39 pilotes en Expert (moteur libre,
pneus idem qu’en amateur). Il est
dommage de voir cette course devenir
un événement presque franco/français
tant le nombre de pilotes nationaux était élevé.
Pour le côté international,
on retrouvait une jolie délégation
d’italiens, un peu de belges venus
en presque voisins, quelques allemands
et suisses et pour finir un finlandais.
Dommage, surtout lorsque l’on se
remémore les éditions du
début des années 2000 où les
anglais et danois venaient en nombre.
Mais ce n’est pas pour cela que
le niveau n’était pas présent,
avec de belles bagarres, autant en catégorie
amateur qu’en expert et chaque
faute se payait cash. Malgré cette
concurrence acharnée, tout le
monde restait disponible pour les autres
et les infos circulaient très
bien, comme c’est souvent le cas
dans ce genre de manifestation
La
piste: là non
plus, pas beaucoup de changement, la
moquette reste identique, et le balisage
aussi, composé de
demi tubes de carton, avec en complément
des coupelles rouges et blanches pour
visualiser les cordes. Petit souci, la
piste est bosselée, en grande
partie dû au fait que la moquette
est stockée toute l’année
pour être déroulée
seulement une fois par an à l’occasion
de cette course. Par contre, le grip
est présent, et ce, dès
le samedi matin, allant en s’améliorant
au fil des manches, un bon point donc.
Le tracé (sens antihoraire) était
assez proche de l’édition
précédente: tout
commence par une ligne droite d’approximativement
trente mètres qui débouche
sur un virage à 90° sur la
gauche, petit bout droit puis chicane,
chicane qu’il faut impérativement
lécher sous peine de retournement
assez agressif, d’autant que tous
les autres pilotes arrivent vite à cet
endroit, on imagine sans mal les conséquences
d’un tel accident. On poursuit
sur un virage à droite en deux
parties qui forment une courbe à 180°,
difficile à négocier de
par la proximité de scotch au
niveau de la trajectoire, mais
aussi par la position du pilote sur le
podium. Lorsque l’on réussi à se
sortir du piège précédent,
on tombe sur une partie rapide en forme
de L qui vous envoie littéralement à mach
3 dans un S, S qu’il faut négocier
le plus droit possible sous peine d’être
très mal placé pour la
suite des événements. A
ce stade, on a effectué presque
1/3 du circuit et on est déjà exténué.
Après ce fameux S, un petit bout
droit qui nous entraine vers une descente
infernale puis d’une remontée
tout aussi infernale avec un S (encore
un) mais beaucoup plus prononcé cette
fois, et là aussi, une fois de
plus, un mauvais placement coûtait
très cher puisque la fin de cette
difficulté dépend la vitesse
d’entrée dans la seconde
partie rapide du tracé, qui réclame
beaucoup de précision pour ne
pas perdre de temps, ou ne pas
perdre l’auto
tout court. Ensuite, tout devient plus
calme avec une succession de virages
lents, mais dont la vitesse acquise juste
avant ne doit être en aucun cas
perdue sous peine d’avoir à relancer
la machine et de perdre de précieux
dixièmes. Voilà, un tour
d’effectué. En fait, on
a à chaque année l’impression
que rien ne change, mais c’est
tout le contraire. Par petites touches
certes, mais réelles, ce
qui fait que d’une année
sur l’autre, les références
et les points de repaires sont très
différents. Justement en parlant
de références, en voici
quelques unes: il fallait boucler
entre 17 et 18t en amateur pour être
un tant soit peu crédible, et
entre 18 et 19 en expert.
Technique:
aucune révolution
dans les stands, par contre, certains
changements de tendance assez visibles
sont à noter. Mais tout d’abord,
commençons par un tour des stands.
Xray:
précédemment,
on parlait de changements de tendance,
et bien la voici, cette nouvelle tendance.
Beaucoup de Xray T2 (et dans une moindre
proportion de ‘007), à tel
point que l’on a l’impression
qu’elles ont remplacé les
Tamiya sur les tables. Du côté de
la technique, ceux ayant une T2 "old
school" se contentent de
l’utiliser et d’appliquer
les réglages qui ont fait recette
dans un passé pas si lointain,
tandis que les heureux processeurs
de la nouvelle T2 ‘007 doivent
patauger un petit peu pour s’y
retrouver. Ceci dit, ils ne mettront
pas beaucoup de temps, et l’on
retrouve deux exemplaires en finale
A expert. Et lorsque l’on vous
dit que c’est
une tendance lourde, ce n’est pas
pour rien, puisque la moitié des
finalistes A amateur roulait en Xray
T2. Au rayon nouveauté, à part
la new T2, rien de rien, les réglages
sont connus, mais on note toutefois une
certaines prépondérance à l’utilisation
du spool, même en amateur, pour
un confort certain, surtout en finale.
Tamiya: toujours aussi peu de
version à cardan, les modèle
TB Evo ayant du mal semble-t-il à trouver
leur public hors d’Asie. Les 415
visibles sont au minimum des versions
MSX voire Rheinard. Une new pour les
fans de la marque, Cyril N’Diaye
qui pilotait jusqu’à présent
pour Tamiya à changé de
monture et roule désormais pour
Xray, on lui souhaite bonne chance. D’un
point de vue réglage, on n’a
pas vu grand-chose changer, les autos
fonctionnant généralement
bien sur cette surface, et le feedback
important. Cependant, un défaut
récurant semble se présenter,
la qualité des pièces,
ou plutôt, leur vieillissement.
M. Jasmin a été victime
de déchapage intempestif sur son
415, ce qui lui à coûté un
meilleur résultat final, à méditer
quant à leur fréquence
de changement.
Hot
Bodies: tout comme les Xray,
les Hotbodies sont de plus en plus nombreuses
dans les stands, que ce soit chez les
pilotes étrangers ou français.
On en dénombre trois en finale
A amateur et deux en finale A Expert.
Les versions sont partagées entre
les classiques "noir" et les modèles
pro Surikarn
(présente en tout petit nombre)
et Hara (qui reste la plus utilisée,
ou plutôt, la plus répandue).
Les quelques nouvelles pièces
apparues au world en Italie ne sont à priori
pas encore disponibles, et seul JMB (Jean-Marc
Betticher) les utilisait.
Team
Associated: les pilotes roulant
en TC4 Team ou Factory Team étaient
dispersés dans les stands,
et les performances s’en sont sûrement
ressenties, puisque aucun pilote n’a
fait de résultat majeur. Par conséquent
aucune auto en finale A, que ce soit
en amateur ou expert, en espérant
que la future TC5 inversera la
tendance.
Schumacher: davantage
de châssis
britanniques dans les stands, en tout
cas, beaucoup plus que d’habitude.
On en retrouve un exemplaire en expert,
par l’intermédiaire d’A.
Laurent. Sa voiture est une MI2 EC, stock
et bien préparée, plus
un bon pilote, on arrive à en
tirer quelque chose;) On a même
pu voir une Axis 2 d’il y a trois-quatre
ans, preuve une fois de plus que l’on
a pas besoin de dépenser des fortunes
pour s’amuser (ndlr: l’auteur
insiste toujours beaucoup là dessus,
mais c’est pour la bonne cause).
Kyosho: la
seule et unique voiture était
détenue par T. Rheinard, le frère
de Marc. Il s’agit du modèle
Stallion à courroies. Dixit le
pilote "bonne auto,
plus difficile à mettre
au point (que la Tamiya), surtout
lorsque l’on est seul à rouler
dessus comme aujourd’hui".
A priori, peu de pièces option
sur l’auto, à l’exception
des pièces alu. qui servent à retenir
l’axe de transmission primaire,
mais à part ça, rien d’autre.
Une petite particularité, la position
du récepteur et du variateur sur
le châssis. Au lieu d’être
l’un derrière l’autre,
ils sont côte à côte,
ce qui sous entend que le châssis
et beaucoup plus large que la moyenne. Sur
la piste, on a l’impression d’une
voiture assez difficile, plus par manque
de confort que de performance. Espérons
que plus de pilotes s’intéresseront à l’auto
qui a tout pour séduire.
Corally: avec
la présence
de S. Ahoniemi et de M. Fisher, mais
aussi de C. Paul, il nous a été possible
de voir ce qui devrait préfigurer
la "RDX 2". Sur
les photos, on peut voir que tout est
nouveau sur l’auto, à part
peut être les triangles, les différentiels,
le spool et la roue libre. L’accessibilité semble
avoir était le maitre mot lors
de sa conception, et ils se sont mis
au diapason des autres constructeurs. Par
contre, par certains points, cela semble
un peu compliqué, et on peut noter
l’utilisation de pas mal de pièces,
ce qui peut être pénalisant
au niveau du poids. Les poulies centrales
sont en plastique. Le châssis ressemble
assez au nouveau, commercialisé pour
la RDX pemière génération (sur la photo
du châssis de Simo, on peut apercevoir
l’utilisation d’un renfort
de châssis avant), toutefois,
la platine, elle, est toute nouvelle
et permet de recevoir le renvoi de direction
centrale. En parlant de la platine, on
notera aussi sa forme symétrique,
comme les productions concurrentes. Les
performances semblent être là,
puisque S. Ahoniemi et M. Fisher font
respectivement premier et deuxième
en qualif. et idem en finale,
les deux pilotes étant
en lutte perpétuelle pour le leadership.
Yokomo: très très
peu d’exemplaires visiblent dans
les stands. Celui d’E. Koloff était
particulièrement bien préparé et
performant, puisque elle gagne sans une
certaine facilité la finale B
amateur. Mais par manque de pilotes,
la marque tend à disparaître
des stands, ce qui n’est jamais
une bonne chose.
Divers: l’une des grosses
questions de ce weekend en terme de réglage, à part
bien sûr le choix du traitement, était
l’utilisation de la roue libre
ou du spool. La question se posait surtout
en catégorie amateur, où la
perte de la vitesse pouvait être
très handicapante, voir pénalisante.
La réponse était plutôt
50/50. Avec ce genre de motorisation,
il est possible qu’on puisse avoir
des soucis pour faire rouler l’auto
par les seuls réglages châssis,
et la roue libre peut aider à faire
moins planter l’auto. Tout est
une question de feeling, le vainqueur étant
en roue libre et le 3ème en spool,
et les temps au tour étaient très
proches, tirez-en les conclusions que
vous voulez. L’autre aspect technique
très important sur la moquette
est le traitement, et là, encore
plus d’écoles s’affrontent.
En amateur, un seul pilote utilisait
le fameux Fish, alors que beaucoup en
France le considèrent comme incontournable,
les allemands par exemple préférant
d’autre produits comme le TC4 Corally
ou le H-Fuss. En expert, tous les finalistes
utilisaient le Fish. Les motorisations
employées en expert allaient de
10 à 7 tours, le tout en un seul
enroulement. Les nouvelles têtes
V2 Team Orion commence à être
visible sur certains châssis, mais
la marque à la mode est incontestablement
Checkpoint, puisque tout le monde ne
jure que par ces moteurs, pour des raisons
plus ou moins obscures en fonction des
pilotes interrogés. Beaucoup de
brushless utilisés par les pilotes
italiens, et le contrôleur que
l’on retrouve le plus souvent est
le GTB de chez Novak et dans une proportion
moindre les LRP/Nosram. Les motorisations était
généralement confiées à des
Novak 4.5 voir 3.5 (ndlr: pour être
sûr de tout casser), que l’on
utilise un contrôleur Novak ou
LRP/Nosram. Quelques GM Genuis 95 visibles,
principalement sur les voitures françaises,
mais aussi et surtout sur l’auto
de M. Fisher, qui pour l’accompagner
(le contrôleur) avait une jolie
guirlande de condensateurs, dernier accessoire
pour être hype, ou pour ne pas
tout cramer, au choix. Un dernier mot
sur la technique, 99,99% des pilotes
utilisaient des éléments
IB, aucun EP aperçu ou de GP 4300.
Qualifications:
Amateur:
la lutte s’est
engagée entre le jeune L. Urbain
et D. Sartorius , D. Sartorius étant
le premier à dégainer le
18t, suivi dans la manche suivante par
L. Urbain, la pole se jouant le lendemain
matin entre ces deux pilotes, mais tourna à l’avantage
de Daniel (0 point), Lucas étant
au prise d’un mal qui ne le lâchera
plus du dimanche, j’ai nommé les
tops radios. Ceci dit, Lucas (2 points),
avec ces excellentes performances de
la vieille conserve la seconde place.
A la troisième, l’on trouve
F. Valantin (11 points) mais seulement
jusqu’au
samedi soir, le lendemain, c’est
S. Bruck (7 points) qui lui passe devant.
A la cinquième place, c’est
P. Reich à égalité de
point avec F. Valantin, mais ce dernier
profite d’une manche plus rapide
pour garder cette place chèrement
acquise. A la sixième, c’est
le jeune belge M. Geiger avec 13 points
et à la septième S. Roufosse
(20 points). Pour compléter ce
top ten, à la huitième
H. Dinler (22 points), à la neuvième
T. Simari (23 points) et pour finir, à la
dixième place, F. Jadot (24
points).
Expert: S.
Ahoniemi (0 points) ne laissera à personne,
et surtout pas à son teammate
M. Fisher, le soin de réaliser
la pôle. Par contre, T. Rheinard était
plus que motivé pour s’emparer
de cette deuxième place, mais M.
Fisher, qui ne put jouer pour la première, à tout
fait pour la conserver et la bataille
fut très rude
mais fairplay entre les deux pilotes
et amis. On les retrouve donc dans cet
ordre M. Fisher deuxième (6 points)
et T. Rheinard troisième (7 points). Le
quatrième
et premier français, eh bien ce
n’est
autre que L. Jasmin (10 points) qui réalise
ici une excellente performance et qui
prouve, s’il en était besoin,
sa forme du moment. Il est suivi de très
près par J-M Betticher, à égalité de
points, mais auteur d’une manche
moins rapide. Continuons avec la sixième
place, et c’est J. Carpentier qui
s’en empare avec 11 points et à égalité de
points avec A. Thréhout, mais
comme dans les cas précédents,
c’est le plus "rapide" qui
prend la meilleure place. Pour l’attributions
des huitième et
neuvième
place, il sera encore question d’égalité de
points, cette fois entre A. Laurent et
M. Rascol (qui finirons dans cette ordre).
Pour finir, c’est C. N’Diaye
qui ferme la marche (17 points).
Finales:
Amateur: fort
de sa pole position, D. Sartorius s’adjuge,
non sans un certains mal, surtout dans
la dernière
manche où une belle lutte entre
S. Bruck à eu lieu, la victoire
finale. C’est justement S. Bruck
qui s’empare de la deuxième
place sur le podium, suivi par F. Valantin,
quelque peu malchanceux dans la
première manche, son triangle
arrière droit ayant failli se
faire la belle. L. Urbain, qui partait
deux, n’a pu à aucun moment
profiter de sa place privilégiée à cause
de ses tops radios récurents,
au grand désespoir de son fan
club. Il finira par conséquent
loin dans le classement, à une
dixième place qui ne
reflète
en rien son niveau. En quatrième
position, P. Reich, parti cinquième
sur la grille de départ et qui
réalise
de belle finale ainsi que le jeune M.
Geiger qui lui aussi gagne une place
par rapport à sa position sur
la grille. En sixième position,
S. Roufosse, en septième T. Simari
et en huitième F. Jadot. Pour
compléter,
H. Dinler neuvième et dixième,
le malheureux L. Urbain.
Expert: cela à était
moins facile pour Simo que lors des qualifications,
Marc étant toujours très
proche de lui et près à profiter
de la moindre occasion lui étant "offerte" par
Simo. Mais Simo reste le plus fort et
arrive à contrôler la situation à chaque
fois, même si à plusieurs
reprises, il n’est pas passé loin
de la catastrophe. Derrière, T.
Rheinard essaye de suivre le rythme comme
il peut, mais on le sent un peu en retrait,
manquant de confiance pour aller chercher
les deux leaders. A cet instant, on
tient notre podium expert. A la quatrième
position A. Thréhout, très
bien remonté de la septième
place et qui passe devant ses ainés
sans le moindre complexe. En cinq, L.
Jasmin, qui a été quelque
peu chahuté par
ses petits camarades, ensuite, C. N’Diaye,
qui est l’auteur d’une très
belle remontée, en réussissant à passer
de la dixième à la sixième
place. A la septième place, J.
Carpentier, à la
huitième A. Laurent, à la
neuvième
M. Rascol et à la dixième,
J-M Betticher, qui lui aussi, et probablement
plus qu’un autre dans cette finale,
a été victime de ses partenaires,
allant jusqu’à le faire
faire abandonner deux de ses finales.
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Podium Expert:
Marc Fischer (2), Simo Ahoniemi (1) et Tony Rheinard (3) |
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Podium Amateur:
Stephan Bruck (2), Daniel Sartorius (1), Fabien Valantin (3) |
La carte postale:
et une édition
de plus pour cette grande classique indoor.
Plusieurs points sont à rappeler
je pense. Tout d’abord, la participation
qui depuis 2/3 ans, est en baisse flagrante
avec les grandes années qu’a
pu connaître cette course. Le niveau
en baisse, peut être pas en amateur,
car les batailles entres les futures
relèves sont belles et très
serrées mais en experts sûrement.
je ne doute absolument pas du niveau
des meilleurs français, et leurs
récentes performances lors des
courses internationales l’ont prouvé.
Néanmoins, lorsque plus de top
pilotes étaient inscrits, on comptait
sur les doigts de la main le nombre de
pilotes nationaux présents en
finale A, ce qui mettait encore plus
en valeur leur performances. Ensuite,
les pneus. Même si tout le monde
avait les mêmes (ce qui est un
peu le but), il est juste dommage d’avoir
comme pneus imposés de vieux HPI
B15 40 en 26 mm, pneus que personne n’arrivait à vendre
et que pour écouler le stock,
on les a fourni à l’organisation
de course, le tout pour une somme un
peu élevée compte tenu
de la qualité d’ensemble.
Bref, j’espère que l’année
prochaine l’on aura pas à faire
ce constat, car les pilotes ne suivront
probablement pas. En tout cas, et mis à part
ces "détails",
tout c’est très bien passé,
et tout le monde est rentré content
de ce weekend, en grande partie grâce à la
gentillesse des bénévoles
du club, toujours prés à nous
remonter le morale avec une bonne pâtisserie
maison, donc à l’année
prochaine pour retrouver leur fameux
fondant au chocolat, et bien entendu,
la dixième édition de
la Team Orion Classic.
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